Tourisme & Digital : Voyage au cœur des tendances

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La Transformation Numérique bouleverse, avec une rapidité incroyable, les modes de consommation du voyage, de la culture et des loisirs.

L’innovation technologique et la révolution des usages des différents publics appellent les innovations. La tendance, pour ne pas dire la mode, pour de grandes entreprises est de s’associer à des start-up. Les entreprises traditionnelles, les institutions et les collectivités cherchent, avec leurs programmes de partenariats, leurs incubateurs, accélérateurs etc. à retrouver des capacités d’innovations et d’agilité dans la réalisation que, bien souvent, elles ont perdues.

Après avoir travaillé plusieurs années dans un Comité Régional du Tourisme (CRT Paris Ile-de-France) puis chez le leader français du e-tourisme (voyages-sncf.com), j’accompagne aujourd’hui des start-up dans leur développement.

Oui, je constate bien la capacité de ces jeunes entreprises à inventer (parfois très intuitivement) les nouveaux produits et services qui sont en phase avec les nouveaux comportements des clients, qui vont, à la fois, créer et satisfaire de nouveaux usages.

Les succès et les difficultés de ces start-up nous éclairent très précisément sur les tendances des secteurs du tourisme, de la culture et des loisirs, bref sur les modes de consommation du « temps libre ».

Je vous propose donc un petit Voyage au cœur des Tendances (une suite illustrée de l’article « Tourisme : les tendances digitales 2016-2017 ») où quelques-unes des principales tendances du secteur sont concrètement illustrées par 3 start-up porteuses, à mon sens, d’innovations, de dynamisme, de savoir-faire, en mot d’avenir.

A travers ces trois exemples, l’idée est de dessiner quelques lignes des réponses qu’il nous faut tous inventer pour satisfaire ce nouveau touriste hyper-connecté, hyper-informé, hyper-comparateur, hyper-sollicité, hyper-mobile, hyper-communautaire et finalement hyper-prescripteur.

 

Tendance N°1 : Des contenus de qualité adaptés aux usages de snacking

Faire exister et faire émerger sa destination ou son produit touristique sur le web exige désormais de prendre en compte deux facteurs clefs essentiels : la qualité des contenus et l’usage mobile des « micro-moments » des internautes.

La qualité des contenus est essentielle

Historiquement les contenus web ont été conçus et élaborés d’abord d’un point de vue SEO. Il s’agissait de déployer des contenus éditoriaux qui permettent d’acquérir une bonne position sur les pages de résultats de Google.  La priorité a souvent été donnée à la profondeur du contenu et à son formatage en fonction de ce qu’on croyait connaitre de l’algorithme de Google.

D’où la mise en place chez beaucoup d’entreprises du tourisme de système de production de contenus industriel. Cette première phase est, à mon sens, révolue. Il n’y a qu’à observer une page de résultats Google pour comprendre que le référencement dit naturel est en voie de disparition. Une évolution doit s’opérer : il faut désormais produire les contenus que l’utilisateur et le client attendent, qui correspondent à leurs besoins et non plus produire des contenus en fonction de l’algorithme Google.

La tendance actuelle est beaucoup plus à la qualité originale des contenus. Dans l’univers digital, face à un client submergé d’informations, de sollicitations c’est la qualité et la variété (texte, photos et surtout vidéos) des contenus qui fait la différence.

Et ce sont bien les usages des internautes, leurs comportements qui imposent cette évolution. Pour toucher le visiteur potentiel, il faut parvenir à parler à l’internaute au bon moment, de ce qui va l’accrocher et susciter son intérêt. Comprendre ce qui dans la destination ou le produit touristique va rencontrer le besoin de l’internaute. S’adresser au client en mettant en avant le cœur de la destination ou du produit. La bonne information, au bon client, au bon moment avec le bon outil.

S’adapter aux nouveaux usages : le « picorage » par mobile

En octobre 2016, la consultation d’internet sur mobile a dépassé la consultation depuis un PC (voir la revue de presse 17).

L’audience globale d’internet via smartphone devrait atteindre 75 % en 2017. Aujourd’hui, 65% français sont équipés d’un smartphone. En moyenne, on consulte son smartphone 150 fois par jour.

Le développement du digital et du mobile ont changé notre rapport au temps : Ce sont les micro-moments théorisés par Google. Le marketing digital s’en trouve bouleversé : les publicités sur le web ne fonctionnent plus. L’internaute va de moins en moins « chercher » de l’information : c’est l’information, sélectionnée et pertinente qui doit venir à lui au bon moment. Les sites web, les contenus, les produits, les campagnes, les e-mails, toutes les actions digitales doivent s’adapter à cette nouvelle façon de consommer le web par « picorage » (développement des « snacking content »).

C’est, je crois, ces deux tendances – exigence de qualité et storytelling adapté aux micros-moments – qui expliquent notamment le grand succès de ARTIPS.

ARTIPS, c’est « une dose d’art au quotidien ». Sa newsletter gratuite séduit plus de 400 000 abonnés qui battent des records d’ouverture, de fidélité et de partage. Tout simplement parce que le contenu est unique, récréatif et intelligent et crée de la connivence. Adaptée au format mobile, la NL se lit en moins de 2 minutes et satisfait la curiosité et le besoin de culture du lecteur en respectant ses contraintes de temps. Les résultats de cette Newsletter tri-hebdomadaire sont un véritable défi à tous ceux qui annoncent le déclin, voire la mort, du mail.

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Plus étonnant encore, les lecteurs sont devenus une communauté : les chiffres Facebook d’audience et d’engagement en témoignent.

Pour Coline Debayle, co-fondatrice d’ARTIPS,  « C’est un des éléments qui nous a le plus étonné : nos lecteurs utilisent les anecdotes comme des cartes-postales, ils les envoient à leurs amis, les partagent massivement sur les réseaux sociaux, etc. La viralité est très importante : c’est une caractéristique fondamentale de la communauté qui s’est construite autour d’ARTIPS ».

Les institutions culturelles ne s’y sont pas trompées en se jetant sur ce nouveau média pour promouvoir à travers l’anecdote d’une œuvre leurs musées, leurs expositions. Les entreprises, les destinations touristiques sollicitent désormais ARTIPS pour profiter de son savoir-faire en matière de production de contenu mais aussi et surtout de storytelling et de marketing digital.

Car, on le sait, mais on ne le met pas encore assez en pratique, l’efficacité de la publicité décline fortement (les taux de clic sur les bannières traditionnelles sont dérisoires). L’internaute ne va plus chercher sur le web, c’est l’information qui lui correspond sur le fond et la forme, au moment où il en a besoin et envie, qui doit venir à lui.

Après avoir acquis très vite une position solide dans le monde de la culture, ARTIPS (une quinzaine de personnes) se diversifie et déploie son savoir-faire sur de nouveaux champs :

Amélie de Ronseray, directrice du développement précise « Nous travaillons autant sur des évolutions de forme que de fond, après avoir lancé MusiKtips, nous testons le tourisme, l’architecture, le cinéma, etc. Le développement à l’international est une priorité et une réalité. Nous venons de lancer Artips en anglais et nous sommes fiers d’accueillir nos premiers 40 000 abonnés américains. »

La force d’ARTIPS c’est donc de faire vivre et d’animer une importante communauté impliquée et croissante, d’adresser une information de qualité (les contenus sont le produit du travail d’historiens de l’art et de « digital natives » spécialistes du storytelling !) dans des formats (courtes newsletters responsives, applications, publications sur les réseaux sociaux, etc.) adaptés au mode de consultation et de consommation du public (les e-mails légers, facilement partageables et à haute délivrabilité).

Savoir capitaliser sur l’engouement des premières années, être capable de se renouveler sur le fond et la forme et d’anticiper les évolutions me semblent constituer les défis de ARTIPS.

Parce que la vitesse de l’évolution des technologies et surtout des usages est telle que les start-up, fortes de leurs premiers succès et tout-juste établies doivent déjà préparer « le coup d’après ».

 

Tendance N°2 Donner la parole aux visiteurs et aux habitants (empowerment)

Sur le web, la publicité, les discours officiels des marques et des institutions ne sont plus aussi efficaces et surtout n’inspirent pas confiance. Voir l’article « Le client a le pouvoir, illustrations du concept d’empowerment ».

Les internautes, et c’est particulièrement vrai en matière de tourisme ou de culture où la prescription a toujours été forte, consultent massivement les notes, les avis, les partages de leurs pairs. Le succès de l’économie collaborative s’explique aussi en grande partie parce que le vendeur, le producteur de service est une personne qui ressemble à l’acheteur, au client.

Dans le tourisme, l’hégémonie de Tripadvisor montre que le meilleur ambassadeur est celui qui a vécu l’expérience.

Face aux avis produits, exploités et diffusés de façon industrielle, les destinations et les entreprises touristiques ont développé des contenus générés par les utilisateurs (UGC) et essayé de bâtir des communautés. Certaines ont même bâti des campagnes de promotions sur la parole, le témoignage des visiteurs et des habitants (Bretagne, Côte d’Azur et Paris région).

Donner la parole aux visiteurs et aux habitants ne sera bientôt plus une tendance mais une obligation, qu’il s‘agisse de faire connaître sa destination, de renforcer son attractivité ou de promouvoir ses produits.

Mobiliser les habitants pour répondre aux besoins des visiteurs et développer une culture de l’accueil

Il y a un double intérêt à mobiliser les habitants pour la promotion d’une destination :

D’une part, ils peuvent produire des contenus (photos, vidéos, avis, recommandations, bons plans) plébiscités par les visiteurs potentiels qui veulent de plus en plus « vivre comme les locaux » et surtout « ne pas limiter leur expérience de séjour aux standards touristiques ». En un mot, les contenus produits par les habitants correspondent à la demande des visiteurs.

D’autre part, parce que mobiliser des habitants pour faire connaître et promouvoir sa destination est la meilleure campagne possible pour travailler à l’acceptation du tourisme par les habitants et commencer à bâtir une réelle culture de l’accueil.

On oublie trop souvent que le tourisme est d’abord une activité de la découverte, de la rencontre et du partage.

La Start-up : mydistriKt

C’est sur cette idée centrale que les habitants incarnent la destination et qu’ils ont donc un rôle essentiel à jouer que la plateforme de micro-blogging totalement dédiée au voyage mydistriKt a été lancée.

MydistriKt promet de transformer les habitants en reporters du territoire. Cette start-up a été créée par des français basés aux Etats-Unis à partir de l’expérience du réseau d’expatriés qui échangeaient leurs bons plans. Voir la vidéo de présentation.

MydistriKt travaille aujourd’hui avec des destinations et des entreprises du tourisme : La valeur de la start-up est d’apporter son savoir- faire et son expérience de « coaching » des habitants pour en faire des reporters et des ambassadeurs numériques de la destination,  et produire ainsi des contenus authentiques qui renforcent l’attractivité de la destination.

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Benjamin Bardes, Associé, témoigne : « La force de mydistriKt est d’avoir créé un outil qui permette à la fois aux habitants qui aiment leur territoire de pouvoir assouvir leur envie de d’échange : partage de leurs photos, de leurs expériences, bons plans et points de vue sur leur « distriKt » et des voyageurs qui justement recherchent des avis authentiques, des bons plans de connaisseurs … et les meilleurs connaisseurs d’une destination sont bien ses habitants ».

mydistriKt est également sollicité par des agences de voyages, des distributeurs on-line qui cherchent justement à marketer leurs destinations et produits par une histoire authentique racontée non pas par des professionnels mais par les meilleurs experts: les habitants.

Benjamin Bardes précise : « Aujourd’hui nous nous rendons compte en travaillant avec des entreprises du voyage et des destinations non seulement que ces contenus ont une véritable valeur mais que les outils et l’accompagnement que nous apportons aux habitants pour les faire devenir des reporters locaux sont très demandés ».

Le principal défi de la start-up est désormais de développer et faire vivre une communauté mondiale de « reporters locaux » tout en développant un réseau pertinent de diffusion. Voir l’article de François Perroy :  « mydistriKt donne la parole aux locaux ».

« Quand un habitant de Corrèze obtient un « Whaouu,  what amazing landscape » de la part d’un Vietnamien qui n’a encore jamais mis les pieds en Europe ». L’anecdote peut faire sourire mais elle traduit bien le double bénéfice de la démarche ; impliquer les habitants en exploitant leur engouement naturel à parler de leur territoire et promouvoir ainsi la destination avec une communication humaine, positive et authentique.

 

Tendance n°3 : le voyage devient une expérience, vers la visite augmentée

Le concept de « smart tourisme » développé par Franck Gervais, DG de Voyages-sncf.com repose en grande partie sur l’idée que le digital permet une expérience de visite « augmentée ». Les outils numériques facilitent la mobilité, libèrent du temps pour mieux profiter de la destination, permettent d’aller plus loin dans les découvertes, les rencontres, etc., en un mot augmentent l’expérience du voyage.

D’autre part, on le sait, la vidéo devient totalement essentielle sur le web. Qu’il s’agisse des vidéos regardées pour trouver des idées de vacances, choisir sa destination (72% des américains regardent au moins une vidéo pendant leur recherche de voyage) ; des vidéos que l’on filme pendant son séjour et que l’on partage quasi immédiatement, des vidéos pour choisir sa chambre d’hôtels ou son camping… A chaque étape du cycle du voyage, la vidéo s’impose comme le média majeur.

Avec l’avènement de l’émotionnel et de l’immersif, du marketing expérientiel et des réseaux sociaux c’est-à-dire du partage permanent, la vidéo devient le support dominant.

La vidéo peut offrir un point de vue unique et nouveau (vidéo go-pro, drône, 360°), la Réalité Virtuelle (3D) et la Réalité Augmentée permettent de transcender un lieu, un monument, une destination.

Les musées et monuments ont commencé à mettre en place des dispositifs de réalité virtuelle au service du visiteur (voir lieux culturels et réalité virtuelle) mais ces dispositifs sont souvent lourds en logistique, coûteux en budget et RH, complexe en termes de sécurité et destinés aux seuls visiteurs déjà à l’intérieur du musée ou du monument.

Les initiatives de visites virtuelles se multiplient. GOOGLE est, là encore bien avancé. Mais le digital en général et la vidéo en particulier peuvent aussi créer de la distance et ne signifie pas forcément visite : on peut désormais visiter Versailles depuis son canapé !

La réalité virtuelle est-elle vraiment un atout pour le tourisme ?

TIMESCOPE, start-up française, en proposant une expérience immersive in situ et en libre-service, joue clairement la carte de la Réalité Virtuelle au service de la culture et du tourisme.

La réalité virtuelle peut apporter un véritable enrichissement à l’espace touristique. Et proposer au visiteur une expérience augmentée.

C’est le pari formulé par TIMESCOPE qui enrichit la visite en permettant de s’immerger dans le passé ou le futur d’un lieu. C’est une belle promesse : La réalité Virtuelle à disposition de tous pour réaliser un vieux rêve d’enfant : voyager dans le temps.

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Timescope est la première borne de réalité virtuelle en libre-service. Un prototype est installé depuis 6 mois Place de la Bastille à Paris :  le visiteur visualise un film d’animation 3D hyper réaliste avec du son et des commentaires qui lui font revivre la place de la Bastille à différentes époques depuis 1416. Il vit in-situ une véritable expérience d’immersion dans l’histoire, de voyage dans le temps.

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Les jumelles touristiques traditionnelles et autres diaporamas sont ré-inventés. Timescope, avec des films 360°, augmentés, des animations 3D, etc. offre une expérience inédite plébiscitée par le public.

La valeur de la proposition de Timescope en donc double. Valeur pour le lieu touristique, culturel, patrimonial, architectural, etc. : avec une borne (outdoor ou indoor) en libre-service son espace est enrichi d’un service ludique et attrayant qui fait sens avec sa vocation. D’autre part, pour le visiteur c’est une visite, une balade enrichie par une expérience immersive. Bref une expérience augmentée dont il va se souvenir et dont il va parler.

Le numérique augmente l’expérience : la visite augmentée

Grâce à la Réalité Virtuelle, Timescope répond donc à un réflexe universel : celui d’imaginer à quoi ressemblait un lieu à une autre époque, passée mais aussi future.

Pour Adrien Sadaka, CEO et co-fondateur de Timescope, l’expérience de la Bastille montre que « la soif de connaissance du public appelle désormais une réponse visuelle et auditive ».

Contrairement aux dispositifs numériques proposés sur tablette ou smartphone, la borne est conçue pour procurer une véritable immersion sensorielle grâce aux techniques de Réalité Virtuelle et Augmentée, au son directionnel et à la rotation 360°.

L’autre point fort, est aussi clairement sa proposition en « libre-service » qui libère le gestionnaire de beaucoup de contraintes et surtout qui rend accessible à tous une expérience ludique et culturelle.

L’objet, la borne, incarne une expérience immédiatement compréhensible par le grand public : posée dans un espace extérieur ou intérieur, elle attire petits et grands, comme hier les jumelles. Donner à voir et à comprendre l’invisible est une promesse qui touche immédiatement les visiteurs.

Basile Segalen, co-fondateur, explique le démarrage :  « après le grand succès de cette première borne à Bastille, les sollicitations sont nombreuses, d’autant plus que le modèle économique rend la borne accessible et même rentable pour les gestionnaires de lieux fréquentés ».

D’autres applications de cette borne sont envisagées : dans le cadre de travaux d’aménagement, de construction immobilière : la borne en libre-service aux habitants de visionner ce que sera le résultat des travaux, le futur de leur ville.

Le dispositif peut également permettre au visiteur de se transporter ailleurs. Ainsi ADP (Aéroports de Paris) vient d’installer une première borne Timescope à Roissy en zone de transit offrant à ses passagers un voyage immersif dans Paris et son histoire.

L’expérience de la borne de la Bastille montre l’engouement du public pour ce dispositif : Proposer aux visiteurs de vivre une expérience en leur donnant à voir l’invisible du passé ou du futur constitue une vraie proposition de valeur pour ré-enchanter l’espace public touristique, le patrimoine, les lieux culturels et historiques, l’espace urbain et même paysager.

Le succès de cette première borne démontre l’appétence du grand public pour une proposition culturelle, historique de qualité.

Timescope vise donc à ré-enchanter l’espace touristique. L’idée de mettre la réalité virtuelle au service de la valorisation d’un lieu, en répondant au plus près aux attentes actuelles des publics, en leur proposant une expérience immersive en libre-service est assurément une idée promise à un bel avenir.

 Les start-up augmentent le tourisme !

Ces tendances, illustrées par ces start-up, dessinent un tourisme augmenté où l’intelligence et l’émotion du visiteur sont sollicitées, où son besoin de relation, de compréhension, de partage, d’expériences intenses sont véritablement prise en compte.

Gageons, que ces jeunes pousses réussissent et qu’en grandissant elles conservent ces belles valeurs qu’elles portent et qui dessinent un tourisme humain, intelligent, expérientiel, en un mot, un tourisme augmenté.

Nicolas BARRET

Vous êtes intéressés par l’innovation, par l’une de ces Start-up ? me contacter  : nbarret@unigo-conseil.com  / Tel : 06 07 94 54 32

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